Alors que la maquette promet des gains de délais, de coût et de qualité importants grâce au travail collaboratif itératif, un processus de contrôle efficace (auto-contrôle, contrôle interne et contrôle externe) est également un des facteurs qui contribue à construire des bâtiments de qualité.
Actuellement, les coûts de la non-qualité sont d’au moins 15 milliards d’euros /an selon les qualiticiens qui évaluent le coût de non-qualité à 15 % du chiffre d’affaire du secteur BÂTIMENT.
Le travail en BIM collaboratif est le support d’une démarche qualité partagée.

Chaque métier a des besoins de contrôle qui s’inscrivent dans un processus collectif, de l’auto-contrôle de sa mission, au contrôle interne réalisé par son entreprise, au contrôle externe par le maître d’ouvrage, l’administration ou un organisme tierce partie indépendant.
En utilisant la maquette numérique, chaque acteur peut contrôler plus rapidement et plus précisément avec des solutions adéquates le respect des différentes exigences tout au long du processus : “Programmation, Conception, Réalisation, Exploitation” .
Il s’agit d’impliquer l’ensemble des acteurs dans une démarche Qualité collaborative par le BIM.

Des travaux de numérisation des réglementations démontrent que la maquette numérique offre à tous les acteurs la possibilité d’automatiser la vérification du bon respect des règles.
D’autres outils existent déjà. Ils doivent être connus et adaptés aux besoins de chacun. Ils acceptent des formats open source.